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Pierre Etienne Monnot
Du 08 Juin 2001 au 16 Septembre 2001

( 1657 Orchamps-Vennes - 1733 Rome )
Des sculptures du XVIIIème siècle "l'itinéraire d'un sculpteur franc-comtois de Rome à Cassel"
Ce sculpteur originaire de Franche-Comté, a réalisé différents travaux pour des églises du Jura avant de se fixer à Rome où il exécuta le tombeau du pape Innocent XI. Il réalisa ensuite des statues pour Saint-Jean de Latran. Mais son chef-d'oeuvre est sans aucun doute le Bain de Marbre à Cassel, en Allemagne.
L'exposition présentera principalement 5 bas-reliefs en bois conservés à Poligny provenant de la Chapelle des Oratoriens ainsi que des oeuvres des musées du Louvre, Besançon et Nancy.

Art sacré contemporain dans les églises comtoises
Du 15 Juin 2001 au 15 Septembre 2001

Art sacré contemporain 1945 - 1975
sous l'impulsion de Lucien Ledeur
C'est grâce à quelques personnalités déterminantes que de 1945 à 1975 de nombreux chantiers de créations contemporaines ont pu voir le jour en Franche-Comté.
Alfred Manessier dessine ses premiers vitraux et les premiers vitraux non-figuratifs introduits dans un édifice cultuel dans l'église des Bréseux (Doubs)
Le Corbusier réalise son premier projet d'architecture religieuse et le seul avec le couvent de la Tourette (Rhône) : la chapelle de Ronchamp (Haute-Saône) : "un phénomène d'espace indicible"
Fernand Léger accepte la commande de seize vitraux pour la nouvelle église d'Audincourt "lui qui toujours, par ses amitiés, par ses convictions et ses goûts se reconnut solidaire du destin des travailleurs trouve d'instinct et à la première occasion qu'on lui en offre dans une église un langage qu'ils entendent."
Cette exposition propose un itinéraire de l'art sacré contemporain en Franche-Comté des sites les plus prestigieux aux moins connus : Ronchamp, Audincourt, Les Bréseux, Pontarlier, Le Bizot, Oye et Pallet, Orchamps-Vennes, Besançon, Gy, Belfort, Bethoncourt, Sochaux...

L'avenir retiendra pour l'histoire du renouveau de l'art chrétien cette date du 20 janvier 1951 où, dans une commission diocésaine d'art sacré, réunie sous la présidence de l'archevêque et de l'évêque auxiliaire, dix-sept esquisses de Fernand Léger, la maquette d'une grande mosaïque de Bazaine, et les plans de Le Corbusier pour l'église de Ronchamp furent ensemble et unanimement approuvés

M.A. Couturier


Jean Noël
Du 29 Juin 2001 au 09 Septembre 2001
Galerie le 19
Centre régional d'Art Contemporain

19 avenue des Alliés
25200 Montbéliard
Expo d'art contemporain

Parti d'une approche de la sculpture qui éprouvait les relations entre le matériau et la lumière, Jean Noël intégra progressivement la qualité chromatique et dynamique du matériau dans la mise en forme de ses oeuvres.
Il a décliné depuis près de trente ans une oeuvre originale et singulière, nourrie tant du pop que du cinétisme, de l'anti-forme et du process art, voire même de la performance ; son évolution l'a fait côtoyer dans son oeuvre des figures importantes comme celle de Richard Tuttle.
Affranchies du caractère ornemental et glorificateur d'une sculpture massive, les oeuvres de Jean Noël semblent littéralement prendre leur envol dans l'espace, témoignant d'une fascination pour les formes dynamiques, vivantes et vibrantes.
En quête d'une sculpture où "il est question avant tout de tension, de matière, de fluidité, d'ondulation et de tarnsformation", Jean Noël s'attache plus aux jeux de formes et de forces qui s'opèrent entre l'oeuvre et le spectateur, qu'à une composition plastique et esthétique.
Plus qu'une mise en forme d'un discours, d'une idée ou d'un sentiment, l'art de Jean Noël est de l'ordre du ressenti et de la sensualité ; il se plaît à recréer un climat cosmogonique, dans lequel les objets semblent portés par les éléments, l'air, le vent, l'eau.
S'il utilise des matériaux industriels et des couleurs pastel, c'est pour rappeler la souplesse et l'élasticité des tissus corporels, et donner naissance à des oeuvres organiques, chargées de vie et d'énergie. Ces matériaux confèrent aux oeuvres un vitalisme qui indique que tout est à la fois mouvant, instable, en constante évolution, et régi par les lois de l'apesanteur, à la fois ordre et chaos.

Catalogue de l'exposition


Traits, portraits, visages et figures. 1950-2000
Cette exposition n'est pas une rétrospective mais un panorama en quelque 80 oeuvres significatives de ce peintre jurassien, né à Morez en 1924, professeur à l'Ecole des Beaux-Arts de Besançon de 1954 à 1989.
Elle démontre la rigueur de la méthode, la sûreté de la démarche et les libertés acquises.
L'essentiel du projet de Ricardon concerne une réflexion sur le visage, son ordre, son identité (non sans connivence avec certains principes formels de l'abstraction) pour réconcilier forme et fond dans la frontalité du tableau (miroir de soi, oubli de soi?)
Sa démarche n'écarte pas la pratique picturale, ses nécessités artisanales, l'exploration méthodique du matériau-peinture qui, avec le renoncement au chromatisme resteront sa marque;
Ces choix seront les choix de toute une vie au risque de l'effacement de soi (du figuré) pour faire place à plus de peinture encore.

Rigoureux et exigeant avec lui-même, sa démarche est singulière. Jean Ricardon fait partie de ces peintres qui ne dévoilent leurs travaux lorsqu'ils les considèrent, provisoirement, seulement comme un état satisfaisant du travail escompté. Ces oeuvres sont brutales ou raffinées, fines ou aux empâtements exagérés, effacées ou à la plstique puissante.

Mylène Peyreton
Du 23 Juin 2001 au 01 Septembre 2001
Exposition personnelle