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Au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie une exposition est consacrée à Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), à l´occasion du bicentenaire de sa mort. Lors de son séjour à Rome, Fragonard se lie d´amitié avec Pierre-Adrien Pâris, grand collectionneur qui léguera la totalité de ses « Fragonard » à Besançon, sa ville natale.
Trompe-l´oeil, chronogrammes, maximes en latin et invocations religieuses gravées sur les linteaux, symboles maçonniques ou tout simplement vieilles publicités, nos façades nous parlent ! Elles délivrent au-delà des siècles des messages que l´on peut parfois décrypter en fonction du contexte historique, politique et religieux dans lequel ils furent produits. Rendez-vous devant la porte Rivotte.
Au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie une exposition est consacrée à Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), à l´occasion du bicentenaire de sa mort. Lors de son séjour à Rome, Fragonard se lie d´amitié avec Pierre-Adrien Pâris, grand collectionneur qui léguera la totalité de ses « Fragonard » à Besançon, sa ville natale.
Visite de l´exposition Le Roi, l´Empereur et la Pendule Le musée expose cinquante pendules exceptionnelles appartenant aux collections du Mobilier National. Commandés tout au long du XIXe siècle pour les appartements impériaux et royaux, ces objets sont le reflet de l´histoire, de la mode et de l´art de leur époque. Rendez-vous au musée du Temps.
Présent à Besançon depuis 1754 et à son emplacement actuel depuis 1852, le Haras régional de Franche-Comté héberge dans ses écuries une quarantaine d´étalons de races différentes dont le célèbre « Trait comtois ». En franchissant les portes de l´établissement, vous pénétrerez sur un site « vivant » et découvrirez l´histoire et la vie quotidienne d´un haras en y rencontrant le maréchal-ferrant, le sellier-bourrelier, le cavalier, le meneur, le soigneur... Rendez-vous dans la cour du haras, 52, rue de Dole Inscription obligatoire à l´office de tourisme.
L´hôpital Saint-Jacques, fondé en 1686, conserve l´une des plus belles pharmacies de France, constituée vers 1680. La rareté de cet ensemble de près de 250 pots et la qualité de son décor sont à découvrir. À deux pas, la chapelle du Refuge, entièrement restaurée, est l´un des plus élégants sanctuaires Louis XV de Franche-Comté. Rendez-vous rue de l´Orme de Chamars, devant la chapelle du Refuge.
Après l´annexion de la Franche-Comté par Louis XIV, Besançon devient capitale de la province. Les institutions installées à Dole sont transférées dans la nouvelle capitale. Le 12 novembre 1676, le parlement de Franche-Comté fait sa rentrée solennelle et s´installe dans le second corps de logis de l´hôtel de ville. Le bâtiment ne cessera de connaître des transformations jusqu´à une date récente. Laissez-vous conter le Palais de justice. Rendez-vous rue Hugues-Sambin.
Besançon, au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie :
11h et 16h : visites guidées de l'exposition "De Vesontio à Besançon, la ville s'expose"
16h : Visite guidée de l'exposition "Les Fragonard de Besançon".
Découvrez le patrimoine bisontin à la faveur des illuminations de Noël. De la place de la Révolution au palais Granvelle, laissez-vous conter les grands moments de l´histoire de la ville et terminez cette visite conviviale autour d´un chocolat chaud et d´une viennoiserie. Rendez-vous devant le musée des Beaux-Arts, place de la Révolution Inscription obligatoire à l´office de tourisme.
C´est en 1793 que débute à Besançon l´épopée horlogère avec la création d´une Manufacture Nationale d´Horlogerie. La fabrication des divers éléments constitutifs de la montre sera répartie entre près de 400 ateliers implantés dans la ville sous le Second Empire. La création d´une école d´horlogerie, en 1861 ainsi que celle d´un observatoire, achevé en 1885, pour la vérification des chronomètres, assurent le développement d´une activité industrielle qui conférait alors à Besançon, dans les années 1875, le titre de capitale de la montre française.
La construction du séminaire de Besançon commence en 1670 à l´instigation de Monseigneur de Grammont. Les travaux débutent par la chapelle et se terminent par l´élévation de l´élégant portail de l´architecte Galezot en 1735. Une visite pour évoquer l´histoire de cette institution et découvrir une chapelle qui est peut-être l´une des plus tardives manifestations du style gothique en Franche-Comté. Rendez-vous devant le centre diocésain, 20 rue Mégevand.
Laissez-vous conter l´hôtel Pétremand de Valay Construit en 1774 par l´architecte Claude-Antoine Colombot pour une famille de maîtres de forges, cet hôtel particulier entre cour et jardin est une belle expression du goût néo-classique en vigueur à la fin du XVIIIe siècle. Rendez-vous devant l´hôtel 19 rue de la Préfecture. Inscriptions (15 personnes maxi) obligatoires à l´office du tourisme, trois semaines avant chaque visite. Une photocopie de votre pièce d´identité vous sera demandée.
Yves Hasselmann rue du Mont à Cléron (Doubs) vient de publier son premier livre "Carrées etc..." au prix de 25 euros.
"Cet ouvrage d'une soixantaine de pages regroupe une sélection de 56 reproductions couleurs de toiles carrées ou à base de carrés. C'est un regard posé sur une partie de mon travail pictural des 6 années qui viennent de s'écouler."
Ponctué des textes de Jacques Rittaud-Hutinet, cet ouvrage vous invite à un voyage dans l'expression de la couleur.
Durant l´automne, la visite commentée du théâtre se poursuivra à la bibliothèque d´étude et de conservation par la présentation de l´exposition : « Les archives racontent le théâtre ». Rendez-vous devant le 47 rue Mégevand pour visiter le théâtre et l´exposition.
Au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie une exposition est consacrée à Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), à l´occasion du bicentenaire de sa mort. Lors de son séjour à Rome, Fragonard se lie d´amitié avec Pierre-Adrien Pâris, grand collectionneur qui léguera la totalité de ses « Fragonard » à Besançon, sa ville natale.
Soirée découverte d'oeuvres contemporaines. Douze vernissages en présence des artistes. Quartier préfecture Lyon 3ème de 17 à 22 heures.
Avec Béatrice Ducrest, Louise Lainé Boué, Bernard Roudet, Thierry Virton, David Gerstein, Charles NGuyen Van Du, Annick Hadacek, Véronique Soriano, Claude Gazier, Kenji Kamiya, Jenny Jacottet et Christian Jacques.
Sculpture de Jenny Jacottet
Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, Besançon connaît une période de stabilité économique propice au développement urbain. En 1764 Charles-André de Lacoré, nouvel intendant de Franche-Comté, s´installe à Besançon. Désireux d´apporter les embellissements nécessaires à une capitale, il fait appel pour la construction de l´hôtel de l´intendance et du théâtre à des architectes parisiens de renom : Victor Louis et Claude-Nicolas Ledoux. Les architectes bisontins participent à ces réalisations prestigieuses et répondent à des commandes de plus en plus nombreuses. Découvrez le savoir-faire des architectes comtois du XVIIIe siècle. Rendez-vous devant la préfecture, rue Charles-Nodier
Jules Romain et Andréa Palladio, les inspirations italiennes de Claude-Nicolas Ledoux conférence par Pascal Brunet, doctorant en histoire de l´Art sur inscription obligatoire à l´office de tourisme qui vous communiquera le lieu de la conférence.
L´hôpital Saint-Jacques, fondé en 1686, conserve l´une des plus belles pharmacies de France, constituée vers 1680. La rareté de cet ensemble de près de 250 pots et la qualité de son décor sont à découvrir. À deux pas, la chapelle du Refuge, entièrement restaurée, est l´un des plus élégants sanctuaires Louis XV de Franche-Comté. Rendez-vous rue de l´Orme de Chamars, devant la chapelle du Refuge.
C´est en 1793 que débute à Besançon l´épopée horlogère avec la création d´une Manufacture Nationale d´Horlogerie. La fabrication des divers éléments constitutifs de la montre sera répartie entre près de 400 ateliers implantés dans la ville sous le Second Empire. La création d´une école d´horlogerie, en 1861 ainsi que celle d´un observatoire, achevé en 1885, pour la vérification des chronomètres, assurent le développement d´une activité industrielle qui conférait alors à Besançon, dans les années 1875, le titre de capitale de la montre française.
Au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie une exposition est consacrée à Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), à l´occasion du bicentenaire de sa mort. Lors de son séjour à Rome, Fragonard se lie d´amitié avec Pierre-Adrien Pâris, grand collectionneur qui léguera la totalité de ses « Fragonard » à Besançon, sa ville natale.
Visite de l´exposition Le Roi, l´Empereur et la Pendule Le musée expose cinquante pendules exceptionnelles appartenant aux collections du Mobilier National. Commandés tout au long du XIXe siècle pour les appartements impériaux et royaux, ces objets sont le reflet de l´histoire, de la mode et de l´art de leur époque. Rendez-vous au musée du Temps.
Animation au Musée des Beaux Arts de Dole à 18h30 : visite à deux voix ; Anne Dary et Laurence Collombier (estampes contemporaines)
Durant l´automne, la visite commentée du théâtre se poursuivra à la bibliothèque d´étude et de conservation par la présentation de l´exposition : « Les archives racontent le théâtre ». Rendez-vous devant le 47 rue Mégevand pour visiter le théâtre et l´exposition.
Pierre-Adrien Pâris, Nicolas Nicole, Antonin Fanart, Jean Gigoux, Gustave Courbet... tous sont nés ou ont séjourné à Besançon. De la rue Charles Nodier à la place de la Révolution, une promenade pour découvrir les maisons où ils ont vécu et pour retrouver leurs oeuvres au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie. Rendez-vous devant la Préfecture rue Charles-Nodier.
Trompe-l´oeil, chronogrammes, maximes en latin et invocations religieuses gravées sur les linteaux, symboles maçonniques ou tout simplement vieilles publicités, nos façades nous parlent ! Elles délivrent au-delà des siècles des messages que l´on peut parfois décrypter en fonction du contexte historique, politique et religieux dans lequel ils furent produits. Rendez-vous devant la porte Rivotte.
La construction du séminaire de Besançon commence en 1670 à l´instigation de Monseigneur de Grammont. Les travaux débutent par la chapelle et se terminent par l´élévation de l´élégant portail de l´architecte Galezot en 1735. Une visite pour évoquer l´histoire de cette institution et découvrir une chapelle qui est peut-être l´une des plus tardives manifestations du style gothique en Franche-Comté. Rendez-vous devant le centre diocésain, 20 rue Mégevand.
Laissez-vous conter l´hôtel Pétremand de Valay Construit en 1774 par l´architecte Claude-Antoine Colombot pour une famille de maîtres de forges, cet hôtel particulier entre cour et jardin est une belle expression du goût néo-classique en vigueur à la fin du XVIIIe siècle. Rendez-vous devant l´hôtel 19 rue de la Préfecture. Inscriptions (15 personnes maxi) obligatoires à l´office du tourisme, trois semaines avant chaque visite. Une photocopie de votre pièce d´identité vous sera demandée.
Visite de l´exposition Le Roi, l´Empereur et la Pendule Le musée expose cinquante pendules exceptionnelles appartenant aux collections du Mobilier National. Commandés tout au long du XIXe siècle pour les appartements impériaux et royaux, ces objets sont le reflet de l´histoire, de la mode et de l´art de leur époque. Rendez-vous au musée du Temps.
Bâtie de 1782 à 1786, elle est l´oeuvre de l´architecte bisontin Bertrand, qui reprit partiellement les plans du grand architecte parisien Victor Louis. Rendez-vous sur le parvis de l´église.
De la cité épiscopale du haut Moyen Âge, à la ville du XIIIe siècle organisée en sept quartiers occupant l´intérieur du méandre et la rive droite du Doubs, plusieurs siècles s´écoulent. Riche et passionnante, l´époque médiévale a laissé dans le patrimoine urbain bisontin des vestiges que l´on découvre quelquefois dans les endroits les plus inattendus. Rendez-vous sur le parvis de l´église Sainte-Madeleine.
Les monuments aux morts de la guerre 14-18 dans le Doubs conférence par le docteur Claude Bonnet sur inscription obligatoire à l´office de tourisme qui vous communiquera le lieu de la conférence.
Tous les curieux sont invités pour l'ouverture de la nouvelle fabrique de Godjo-Godjette : "la dessinerie", 39600 Villers-Farlay le vendredi 10 novembre de 17 à 20 h, samedi 11 et dimanche 12 de 10 à 19 h. Autres jours sur rendez vous (tél 03 84 37 60 15)
" la dessinerie " : une fabrique qui vous étourdira par sa production folle de dessins moches et pas comme il faut et où Godjo fait l'oie ! Les canards-infirmiers seront là pour veiller à vous soulager de tous vos mots !
Et vous voir sortir de la visite tous requinqués !
Au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie une exposition est consacrée à Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), à l´occasion du bicentenaire de sa mort. Lors de son séjour à Rome, Fragonard se lie d´amitié avec Pierre-Adrien Pâris, grand collectionneur qui léguera la totalité de ses « Fragonard » à Besançon, sa ville natale.
Visite de l´exposition au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie :
« De Vesontio à Besançon la ville s´expose » Cette exposition retrace l´histoire de Besançon, de la préhistoire à l´époque moderne, en faisant la part belle aux périodes gauloise, romaine et médiévale. À chaque phase de cette histoire correspond une ville au visage différent que les nombreuses restitutions, maquettes et images de synthèse permettent de retrouver. L´occasion de découvrir les vestiges exhumés lors des fouilles récentes.
Musée des Beaux Arts de Dole, animation à 18h30 : échanges avec Gérard Fromanger au sujet des deux séries d´estampes nouvellement acquises : Album le rouge 1968-1971 et le peintre et le modèle, 1972
Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, Besançon connaît une période de stabilité économique propice au développement urbain. En 1764 Charles-André de Lacoré, nouvel intendant de Franche-Comté, s´installe à Besançon. Désireux d´apporter les embellissements nécessaires à une capitale, il fait appel pour la construction de l´hôtel de l´intendance et du théâtre à des architectes parisiens de renom : Victor Louis et Claude-Nicolas Ledoux. Les architectes bisontins participent à ces réalisations prestigieuses et répondent à des commandes de plus en plus nombreuses. Découvrez le savoir-faire des architectes comtois du XVIIIe siècle. Rendez-vous devant la préfecture, rue Charles-Nodier.
En 1772 et 1809, naissaient à Besançon deux grands théoriciens du socialisme : Charles Fourier et Pierre-Joseph Proudhon. Le temps d´une promenade dans la ville, au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie ainsi qu´à la bibliothèque, retrouvons avec émotion leurs maisons natales, les lieux où ils firent leurs apprentissages, ainsi que les amis et disciples qui, de Victor Considérant à Just Muiron, ont suivi ces deux grands innovateurs sociaux du XIXe siècle. Rendez-vous devant le musée des Beaux-Arts, place de la Révolution.
L´hôpital Saint-Jacques, fondé en 1686, conserve l´une des plus belles pharmacies de France, constituée vers 1680. La rareté de cet ensemble de près de 250 pots et la qualité de son décor sont à découvrir. À deux pas, la chapelle du Refuge, entièrement restaurée, est l´un des plus élégants sanctuaires Louis XV de Franche-Comté. Rendez-vous rue de l´Orme de Chamars, devant la chapelle du Refuge.
Après l´annexion de la Franche-Comté par Louis XIV, Besançon devient capitale de la province. Les institutions installées à Dole sont transférées dans la nouvelle capitale. Le 12 novembre 1676, le parlement de Franche-Comté fait sa rentrée solennelle et s´installe dans le second corps de logis de l´hôtel de ville. Le bâtiment ne cessera de connaître des transformations jusqu´à une date récente. Laissez-vous conter le Palais de justice. Rendez-vous rue Hugues-Sambin.
Rencontre avec André Mouget Rendez-vous au musée du Temps Inscription obligatoire
Au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie une exposition est consacrée à Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), à l´occasion du bicentenaire de sa mort. Lors de son séjour à Rome, Fragonard se lie d´amitié avec Pierre-Adrien Pâris, grand collectionneur qui léguera la totalité de ses « Fragonard » à Besançon, sa ville natale.
Présent à Besançon depuis 1754 et à son emplacement actuel depuis 1852, le Haras régional de Franche-Comté héberge dans ses écuries une quarantaine d´étalons de races différentes dont le célèbre « Trait comtois ». En franchissant les portes de l´établissement, vous pénétrerez sur un site « vivant » et découvrirez l´histoire et la vie quotidienne d´un haras en y rencontrant le maréchal-ferrant, le sellier-bourrelier, le cavalier, le meneur, le soigneur... Rendez-vous dans la cour du haras, 52, rue de Dole Inscription obligatoire à l´office de tourisme.
Durant l´automne, la visite commentée du théâtre se poursuivra à la bibliothèque d´étude et de conservation par la présentation de l´exposition : « Les archives racontent le théâtre ». Rendez-vous devant le 47 rue Mégevand pour visiter le théâtre et l´exposition.
Pierre-Adrien Pâris, Nicolas Nicole, Antonin Fanart, Jean Gigoux, Gustave Courbet... tous sont nés ou ont séjourné à Besançon. De la rue Charles Nodier à la place de la Révolution, une promenade pour découvrir les maisons où ils ont vécu et pour retrouver leurs oeuvres au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie. Rendez-vous devant la Préfecture rue Charles-Nodier.
Trompe-l´oeil, chronogrammes, maximes en latin et invocations religieuses gravées sur les linteaux, symboles maçonniques ou tout simplement vieilles publicités, nos façades nous parlent ! Elles délivrent au-delà des siècles des messages que l´on peut parfois décrypter en fonction du contexte historique, politique et religieux dans lequel ils furent produits. Rendez-vous devant la porte Rivotte.
Au musée des Beaux-Arts et d´Archéologie une exposition est consacrée à Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), à l´occasion du bicentenaire de sa mort. Lors de son séjour à Rome, Fragonard se lie d´amitié avec Pierre-Adrien Pâris, grand collectionneur qui léguera la totalité de ses « Fragonard » à Besançon, sa ville natale.
La synagogue de Besançon est l´une des plus représentatives parmi les synagogues bâties dans l´est de la France sous le second empire. Rendez-vous 27 quai de Strasbourg. Inscription obligatoire à l´office de tourisme.
Les fontaines publiques sont d´importants éléments du décor urbain. Elles témoignent, au cours des siècles, de la difficile conquête de l´eau dans la cité ainsi que de l´attention particulière apportée à leur construction. Rendez-vous au pied de la fontaine, place Bacchus
De la cité épiscopale du haut Moyen Âge, à la ville du XIIIe siècle organisée en sept quartiers occupant l´intérieur du méandre et la rive droite du Doubs, plusieurs siècles s´écoulent. Riche et passionnante, l´époque médiévale a laissé dans le patrimoine urbain bisontin des vestiges que l´on découvre quelquefois dans les endroits les plus inattendus. Rendez-vous sur le parvis de l´église Sainte-Madeleine.
C´est en 1793 que débute à Besançon l´épopée horlogère avec la création d´une Manufacture Nationale d´Horlogerie. La fabrication des divers éléments constitutifs de la montre sera répartie entre près de 400 ateliers implantés dans la ville sous le Second Empire. La création d´une école d´horlogerie, en 1861 ainsi que celle d´un observatoire, achevé en 1885, pour la vérification des chronomètres, assurent le développement d´une activité industrielle qui conférait alors à Besançon, dans les années
1875, le titre de capitale de la montre française.
La construction du séminaire de Besançon commence en 1670 à l´instigation de Monseigneur de Grammont. Les travaux débutent par la chapelle et se terminent par l´élévation de l´élégant portail de l´architecte Galezot en 1735. Une visite pour évoquer l´histoire de cette institution et découvrir une chapelle qui est peut-être l´une des plus tardives manifestations du style gothique en Franche-Comté. Rendez-vous devant le centre diocésain, 20 rue Mégevand.
N'oubliez pas de réserver votre week-end samedi 16 et dimanche 17 septembre pour vous rendre dans les musées et participer aux différentes visites qui vous seront proposées à l'occasion des Journées du Patrimoine.
Le salon Jur'Art 2006 aura lieu les 13, 14 et 15 octobre à Authume (près de Dole Jura)
Hervé Alagiraude, l'organisateur, est à la recherche de dossiers de peintres pour l'expo. Les inscriptions sont encore ouvertes jusqu'au 15 juin. La particularité est de ne prendre que des abstraits. Le contacter rapidement à partir de 10h00 le matin au 06 08 32 89 55. ou par mail a9435@voila.fr
Nuit blanche
Projection de vidéos de l'artiste Gilles Picouet. Le Pavé dans la Mare, 140 grande rue Besançon.
Musée des beaux arts de Dole
20h improvisation des classes musicales de Dole à partir des peintures de l'exposition.
21h "Paroles d'oeuvres", création théâtrale de J.F.Le Guarrec.
22h Trois artistes parlent d'un de leurs tableaux.
du 27 avril au 1er mai 2006, retrouvez la "galerie Cimaise et du Théâtre" de Besançon sur le salon EUROP'ART à Genève (Palexpo) sur le stand A2.
Artistes exposés à ce salon : Belle, Grisot, Lucchi...
Anne Tronchi. La peinture de contestation en France dans les années 60. salle Edgar Faure Mairie de Dole.
La propriétaire d'une huile sur toile de Challié (61X46) désire s'en séparer. Ce tableau représente Francine d'origine bretonne qui était la "bonne" de la famille et qui a souvent posé comme modèle pour le peintre. Francine fait du beurre avec une baratte.
Si quelqu'un est intéressé écrivez un mél à art-comtois et je vous mettrai en relation avec la propriétaire.
Francine à la baratte par Challié
Deuxième Festival d'art contemporain de Lourmarin du 1er mai au 30 août 2006.
Ouvert à tous les artistes.
10 000 euros de prix à gagner et 4 mois d'exposition.
http://www.festival-art-contemporain.com
Maitre Renoud-Grappin a vendu ce dimanche à Besançon, un pastel de Jean-Baptiste Perronneau (1715-1783)pour la somme de 75000 euros (plus les frais).
L'oeuvre représente François Gorsse, réalisé en 1757.
Après bientôt six ans sans aucune publicité, votre site préféré vient d'insérer un lien avec une pub qui permet de vous renvoyer sur des sites qui se rapportent à vos centres d'intérêt.
Discrète, tout en bas de page, nous espérons qu'elle vous sera utile et apportera un plus pour vos recherches grâce au moteur Google inséré.
Faites nous part de vos commentaires.
Rassurez vous, tout reste totalement gratuit sur art-comtois aussi bien pour les artistes qui souhaitent figurer que pour les internautes qui viennent piocher des informations.
Suite à la disparition tragique de Mylène Clévenot cet automne, un "livre d'or" vient d'être ouvert sur son site (un article de presse a également été intégré).
www.myleneclevenot.com
Nous avons reçu les voeux de Guy Stoeffler. Merci à lui.
Bonne année à tous.
Que cette nouvelle année soit sous le signe des arts, du bonheur et de la paix.
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