La pratique du paysage est avant tout pour Jean Baptiste Crabbe, une mine d’enseignements. Ce qui l’intéresse avant tout, c’est ’humain. Ses sources d’inspiration proviennent de la représentation des mythes grecs et romains, de la bible, des contes...Il renoue avec la peinture de genre, qui renseigne sur notre civilisation mais sur l’universalité de nos vie collectives et intimes.
La peinture est le lieu de convergence, une rencontre entre le spectateur, l’histoire et le peintre. S’il s’inspire de grands maitres de la Renaissance, il s’appuie sur l’exemple de la composition des espaces et des corps de Bonnard et Cézanne. Il distord les champs visuels, transcrit l’évanescence du mouvement de ses bacchanales endiablées.
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