Pasteur est identifiable dans le monde entier par son image largement diffusée en peinture, gravure, sculpture, puis par les timbres-poste de tous pays et même l'imagerie d'Épinal. De son vivant, la presse a également relaté les découvertes de Louis Pasteur et la caricature a largement exploité ce personnage, parfois considéré comme un « Don Quichotte de la science ».
A l’occasion des 80 ans de la disparition du peintre Auguste Pointelin, le musée d’art, hôtel Sarret de Grozon à Arbois et la Ville de Mont-sous-Vaudrey s’associent pour rendre hommage à ce peintre des paysages du Jura. C’est essentiellement autour de ces deux villes que s’est forgée la vie de l’artiste. Elles s’imposaient comme des écrins de choix mais surtout incontournables : Arbois, sa ville natale, dans l’hôtel particulier que ses amis Antoine-Albert de Sarret de Grozon et son épouse ont légué à la Ville en 1902, là où son disciple Emmanuel Templeux fonda le musée d’art et lui consacra une salle entière ; Mont-sous-Vaudrey, sa dernière demeure, où il installa définitivement son atelier en 1897. Ce peintre des paysages du Jura, aux compositions dénudées et inhabitées, le plus souvent exemptes de tout sujet historique ou champêtre, aimait peindre l’heure indécise entre chien et loup, ce qui lui valut le titre de « peintre du crépuscule ». Au fil du temps et dans une recherche perpétuelle de synthétisme, Auguste Pointelin a su extraire ce qui lui semblait l’essence du Jura, pour la tirer aux portes de l’abstraction, « dans un dialogue à voix basse : celui de la terre et du ciel. »
Le parcours retracera les trois grandes « périodes » de sa peinture, de ses débuts dans la veine de l’école de Barbizon au synthétisme final, tout en établissant un lien avec sa vie personnelle et sa spiritualité, qui ont influencé son oeuvre. Peinture à l’huile sur toile ou sur panneau, aquarelle, pastel et même fusain, l’artiste a exploré plusieurs domaines. Il s’agira donc de percevoir la complexité du peintre et de (re)découvrir des facettes peu ou mal connues de son oeuvre.
C’est un autre franc-comtois que Courbet fit travailler, en la personne d’Émile-Louis Vernier (Lons-le-Saunier, 1829 -Paris,1887), lithographe à Paris qui édita certaines oeuvres de Courbet, comme Les casseurs de pierre, La curée, Remise de chevreuils ou encore La fille aux mouettes
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