L’exposition de cette rentrée 2018 appelle à l’imagination et l’introspection. La peinture de Michelle Taverdet est en effet empreinte de philosophie et de spiritualité. Cette artiste amateur autodidacte peint et dessine depuis une vingtaine d’années environ et a déjà exposé au Caveau des artistes il y a quelques années. Michelle Taverdet laisse libre cours à sa sensibilité et à l’inspiration de l’instant présent pour la mener vers la réalisation d’une toile. Ses outils sont la peinture acrylique, l’encre, le papier de soie.
Elle vous propose de (re)découvrir ses encres et paysages imaginaires
« Faune et flore du Haut-Jura », « Reflets ». Dessin, peinture, photographie, sculpture et modelage L’association Arts plastiques du Haut-Jura prend ses quartiers d’été au Caveau des artistes.
Diplômée des Beaux-Arts de Besançon, la vie personnelle de Laurence Gruet ne lui a pas permis de poursuivre dans cette voie. Très vite, le besoin de transmettre sa passion l'a conduite à ouvrir un atelier tout public sur Lavans-les-Saint-Claude, les « Arts Bleus ». Laurence Gruet s’investit ensuite dans l'animation comme responsable de l'association pour laquelle elle travaille, les Fariboles, à Lavans-les-Saint-Claude également. Parallèlement, Laurence Gruet a toujours continué à partager son savoir-faire à l'association des Arts Plastiques de Saint-Claude entre autres, où elle entretient depuis de nombreuses années maintenant, de chaleureuses relations avec les membres de cette "joyeuse bande" qui lui ont redonné le plaisir de peindre et de partager enfin sa palette à elle. Traits Portraits Une histoire de vie, de visages, de rencontres, de bonheurs, de tourments… racontée par une galerie de portraits privilégiant les regards et l'introspection. Les techniques utilisées sont variées mais elles privilégient la rapidité d'exécution (encre de Chine, acrylique, aquarelle, crayons, feutres, marqueurs et résine). Pour clore cette exposition très personnelle, Laurence Gruet exposera quelques paysages, de Saint-Claude notamment, mais aussi de la Martinique.
Physicienne de formation et retraitée depuis quelques années, Françoise Patrigeon se consacre désormais à sa passion, la peinture.
Cette artiste autodidacte dans la technique de la peinture à l’huile, a découvert plus récemment le pastel sec.
« De nombreuses régions mêlent à ravir les lumières et les couleurs. Ma préférence va à celles qui offrent des horizons lointains, des ciels aux couleurs douces, de la transparence dans les éléments, des scènes de vie, de la lumière… J’essaie de rendre au mieux l’immensité des paysages par le choix des formats de mes toiles. Car je voudrais que chacun de mes tableaux fasse vibrer une corde, raconte une histoire, qu’il soit le début d’un voyage. Ce que j’aimerais avant tout, c’est arriver à représenter l’émotion du monde qui nous entoure».
Françoise Husson, artiste-peintre est installée depuis 1980 à Rosay. Après avoir suivi des cours particuliers avec plusieurs professeurs dans le sud de la France, elle s’initie à l’acrylique à Bourg-en-Bresse. Elle affirme : « Si j’ai choisi la peinture, c’est pour échapper au monde qui m’intimidait. Je ne considère pas la création comme un moyen de fuir la réalité, mais plutôt pour l’assumer en la réinventant. Peindre est l’occasion de laisser vagabonder mon imaginaire ».
Peintre cérébrale travaillant la lumière à l’acrylique et l’abstraction par le mouvement, Françoise Husson a obtenu plusieurs récompenses et été sélectionnée deux fois pour exposer à Barbizon ainsi que dans de nombreuses villes de France. Aujourd’hui elle enseigne toutes les techniques qu’elle a acquises au cours de sa vie d’artiste à ses élèves. Avec cette exposition, les amateurs de peinture moderne découvriront ou retrouveront avec plaisir des œuvres entre "ciel et eau"
Christophe Signori se définit lui-même comme un artiste soucieux et désireux de créer des œuvres tant réalistes que contemporaines.
Sa peinture en relief donne force et vigueur à ses œuvres au charme intemporel.
Christophe Mollet a découvert dès son plus jeune âge la faune et la flore grâce à son instituteur naturaliste et passionné d’ornithologie. Petit à petit, il cheminera à travers les Alpes et le Haut-Jura. Son lieu de prédilection : la montagne, la nature encore vierge, où le silence et l’élégance se mêlent entre les sommets et les combes immenses.
Christophe Mollet investit le Caveau des artistes avec l’objectif de faire découvrir et partager la richesse de la nature de nos montagnes.
Dans la peinture de Nathalie Roure-Perrier, ce qui domine et ce qui frappe c’est la couleur, jaillissante, et le mouvement.
L’artiste conçoit ses tableaux, qu’il s’agisse de personnages, de natures mortes ou de scènes de vie, comme des compositions entremêlant formes, couleurs et matières.
Nathalie Roure-Perrier utilise ce que l’on appelle des techniques mixtes telles l’acrylique, le pastel, le couteau, l’encre ou encore le collage de papier, carton ou tissu qui lui permettent de créer vibrations et rythme.
Nathalie Roure-Perrier est une artiste complète. Une exposition haute en couleur et en lumière à découvrir en ce début d’automne.
Jean Duraffourg, dit Yaude, est né dans le Haut-Jura en 1937, précisément à Bellecombe. Après des études secondaires entre Saint-Claude et Lons-le-Saunier, il part à Paris pour préparer son professorat de dessin.
Il est très vite remarqué par le célèbre critique d'art, sanclaudien lui aussi, George Besson. Dès ses premières expositions au musée d'Art moderne en 1958 et au Salon de l'automne du Grand Palais à Paris en 1959, le jeune artiste reçoit les éloges des critiques.
Dans les années 1960, il s'installe dans le Sud de la France où il enseigne le dessin à Bagnols-sur-Cèze, Marseille puis Aix-en-Provence après un intermède marquant de deux années en Algérie pendant le conflit.
Avec 1968 et les années 70, période de remises en question de la société, Yaude renonce à l'enseignement et s'établit dans le Périgord avec sa compagne et ses enfants pour y mener une vie authentique, libre et simple dans laquelle il puise son inspiration.
Après des expositions dans le Haut-Jura en 1982, 1990 puis 2007, la Ville de Saint-Claude a le privilège de vous présenter une exposition inédite de ses œuvres.
Le parcours de Michel Coignoux est extrêmement riche et dense. Artisan lunettier limougeaud, il poursuit sa carrière dans de grandes entreprises lyonnaises et jurassiennes. De la lunette à l’émail puis de l’industrie à l’art, il n’y avait qu’un pas que Michel Coignoux franchit allègrement.
Maîtrisant les différentes techniques de l’émail, c’est un artiste passionné et passionnant. Ainsi, il créé les Rencontres internationales de l’émail de Morez en 1993 puis, en 1994, le GIRAEFE (Groupe international de réflexion et d’action pour l’émail et les formations d’émailleurs) et la Maison de l’émail en 1999 dont il sera le président de nombreuses années.
Michel Coignoux est un artiste émailleur reconnu qui présente à Saint-Claude une trentaine de tableaux mêlant émail et écriture et une série de statuettes décalées et pleines d’humour. Cet artiste aime accompagner les objets en leur donnant comme une seconde vie grâce à ses ajouts de création émaillée.
Pour cette rentrée 2014-2015, le Caveau des artistes reçoit une jeune artiste moirantine. Aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours peint et dessiné, initiée à l’observation et la patience par son père photographe. Si un stage d’aquarelle à l’âge de 12 ans révèle la peinture à Coraline, elle attendra l’année 2002 pour laisser véritablement libre cours à son esprit créatif. La peinture de Coraline Auger se caractérise par l’expérimentation, la diversité des thèmes et techniques. Les tons sont vifs et colorés, la texture travaillée pour créer des reliefs donnant corps à la toile. Ses tableaux, tantôt abstraits tantôt figuratifs, reflètent ses sentiments : une sorte de traduction visuelle et sensorielle de ses souvenirs et émotions.
Par un subtil travail de lumières et de couleurs, Olivier Nuguet nous fait redécouvrir ce monde fabuleux que nous côtoyons et que nous ne prenons plus le temps d’observer. Son approche artistique de l’entomologie interpelle et nous rappelle combien l’espèce humaine et le monde des insectes sont liés. Passionné de nature, Olivier Nuguet réalise en 1998 ses premiers dessins animaliers à la mine de plomb. Autodidacte, il travaille d’après photographies mais il éprouve rapidement le besoin de restituer les couleurs présentes dans la nature. C’est avec les crayons de couleurs qu’il obtient le plus de plaisir et de précision dans ses dessins nécessitant entre 50 et 120 heures selon la taille du sujet !
Nicole Méra est une autodidacte de la peinture. Elle a commencé à peindre, très tôt, par passion. Perfectionniste, elle recherche et met en pratique les conseils éclairés de peintres confirmés. Pourtant, sa peinture à l’huile sur toile ou papier toilé demeure aussi délicate qu’intuitive. Nicole Méra puise son inspiration dans la nature : les promenades dans le Jura, l’Ain ou en vacances lui donnent matière à représenter les paysages qui lui ont plu. Cette exposition est comme une invitation à une douce contemplation de paysages aux atmosphères impressionnistes et bucoliques. Petite surprise supplémentaire : Nicole Méra proposera une autre palette de sa personnalité et de son art avec la présentation de quelques sculptures et modelages.
L'exposition Montagnes du Jura, géologie et paysages proposée par le Conseil général du jura, permet de comprendre les bases de la géologie jurassienne,
Quelque chose d’indicible, d’indéfinissable attire dans la peinture de Catherine Schmitt. Les couleurs ? Les lignes épurées ? Les effets de matière ? Difficile à dire. Toujours est-il qu’il se dégage un séduisant mélange de force et de fragilité. Catherine Schmitt sourit beaucoup, c’est peut-être ce côté humain, chaleureux qui est la clé de cette attraction. Elle se plaît à dire qu’elle «gribouille» depuis l’enfance transformant morceau de papier, facture et tout autre document passant entre ses mains en carnets de croquis ! Le véritable déclic intervient en 2006 avec le passage à la peinture. D’abord huile puis acrylique, elle expérimente peu à peu des techniques mixtes ajoutant, au gré de son inventivité, sciure de bois, pastels gras, cire, poudre de marbre, feuilles dorées ou argentées…
Depuis avril 2011, date de la première présentation publique de ses créations, Catherine Schmitt alterne expositions collectives et individuelles.
Les créations de Marina Duhamel-Herz sont déroutantes et pour cause puisque cette artiste s’est fixée pour objectif de détourner les panneaux de signalisation routière !
Ici tout, supports et thèmes d’inspiration, est décalé avec humour, espièglerie et aussi un zeste de provocation.
Objet banal de notre quotidien, le panneau signalétique est tantôt sujet central tantôt petit élément perturbateur intégré dans un art « pannomaniaque ».
Marina Duhamel-Herz propose une exposition ludique et colorée accessible à tous les publics (petits et grands, scolaires).
Un véritable jeu de piste s’engage pour les visiteurs entre panneaux détournés et acryliques sur toile nommés « Hommage à… » revisitant les œuvres majeures de l’histoire de l’art.
Une découverte pédagogique ou comment le code de la route amène à l’histoire de l’art ou l’histoire de l’art invite le code de la route. En résumé, une exposition pour laquelle nous sommes ravis de tomber dans le panneau.
Andrée Fearnhead, Lynda Hybord et Nicole Liget sont trois amies de la région grenobloise. Attachées affectivement au Jura, Andrée et Nicole sont d’ailleurs jurassiennes, elles y séjournent très régulièrement.
Toutes trois pratiquent dessin et peinture depuis longtemps de manière relativement autodidacte et éclectique.
Cette exposition à six mains est donc une rencontre amicale et un partage artistique, autour d'un thème manifeste pour notre ville : « Passage et ponts ».
Parmi d’autres expositions individuelles et collectives (Arbois, Les Moussières, Grenoble…), Andrée, Lynda et Nicole ont déjà exposé au Caveau des artistes en mai 2007 et Nicole était revenue en 2009 en compagnie de Jacques Royal, un photographe français installé en Louisiane.
Cette fois, elles ont imaginé un thème pour relier leurs créations et la ville de Saint-Claude qui les accueille à nouveau avec beaucoup de plaisir. Et quoi de mieux que les ponts sanclaudiens pour illustrer cela à travers des sujets réels, figuratifs ou abstraits ?
Vous les aviez découvertes lors de leur première présentation publique au Caveau des artistes en janvier 2010. Les adhérentes de l’association sanclaudienne Palette et crayons pour tous avaient mis au jour avec fébrilité leurs créations. Fortes de cette expérience et des années d’existence de l’association, elles reviennent avec leurs réalisations récentes.
Sous la houlette de Christophe Labart, leur professeur de dessin, chacune s’initie aux techniques picturales et aux matériaux quel que soit son niveau. Pour cette seconde exposition, le fil conducteur sera « Vues de Saint-Claude et sa région ».
Artiste suisse installé depuis quelques mois à Saint-Claude avec sa famille, Alex Rempe va exposer pour la première fois pour le public sanclaudien. Alex Rempe utilise la peinture, l’encre de Chine, le fusain… pour décliner son imaginaire pictural foisonnant. Paysages improbables, personnages anonymes, femmes végétales, vaisseaux fantômes peuplent ses créations. Espaces de couleurs et d’apparitions, les réalisations d’Alex Rempe incitent à les regarder de plus près et bien attentivement pour en déceler les divers éléments. L’artiste a souhaité également s’inspirer de la ville qui l’accueille. Saint-Claude, son histoire, ses ponts seront une sorte de fil rouge en pointillé de cette exposition qui, volontairement, fera elle aussi la jonction entre deux années, entre deux mondes.
Originaire de Colombie où elle a fait l’Ecole des Beaux Arts de Bogota, Esperanza Avila arrive en Europe en 1981 et suit une formation de gravure à Barcelone. Elle s’installe en France en 1982 d’abord à Paris pour suivre les cours des Beaux Arts, puis à Toulouse et enfin dans l’Ain.
Esperanza Avila est proche de la nature, elle la scrute au fil des saisons. Elle ramasse et accumule à profusion des éléments végétaux : feuilles, brindilles, écorces mais aussi, plus surprenant, racines de légumes, de fleurs…
Pour l’artiste, la première étape consiste à préparer les matériaux. Elle devient alors chimiste et manipule chaux, ammoniaque, pigments pour stabiliser ses récoltes. C’est seulement après que ces fragments de nature peuvent devenir éléments de création.
Elle récupère aussi le papier journal et le recycle : il sert de base pour la pâte à papier qu’elle fabrique elle-même.
Esperanza Avila imagine des sortes de totems végétaux en superposant des couches de papier végétal, des pigments, des incrustations diverses.
Ses tableaux sont comme des devinettes pour retrouver les éléments qui les constituent. Vous pourrez percevoir par ici des feuilles de laitue et par là des racines de rhubarbe !
Parfois, on croit découvrir des petits cailloux ou des lettres, symboles originels émanant du papier journal. Chaque tableau est une histoire, une promenade au cours de laquelle, on pourrait presque se sentir dans notre jardin ou dans la forêt…
En 4002, le XXIème siècle n’est plus qu’un passé depuis longtemps oublié. La mémoire écrite et audiovisuelle a été effacée, victimes de ses supports trop fragiles. Le plastique et autres matières synthétiques n’ont pas non plus résisté aux siècles. Ne subsistent que des objets fragmentaires en métal, verre, terre cuite ou pierre, exhumés ici et là. Se fondant sur ces témoignages infimes, les archéologues du futur reconstituent notre monde parfois avec justesse, parfois en se trompant, forcément.
Les logiques sont rigoureuses mais pas toujours fondées : l’arrosoir est classé comme un vase d’apparat, les nains de jardin représentent sans doute des notables ou des prêtres…
Farfelu ? Pas tellement. Dépouillés de tout le vécu que nous leur associons, les objets entrent dans une autre logique et suscitent d’autres regards.
Futur antérieur donne à réfléchir et fait rire. Les visiteurs découvrent des objets familiers transformés en reliques archéologiques.
Il s’agit de montrer les méthodes de travail et d’interprétation de l’archéologie en se projetant dans le futur, au 5ème millénaire. Ces «archéologues du futur» nous proposent une lecture de nos objets du quotidien. Sous des abords scientifiques, cette exposition se veut à la fois décalée et humoristique.
Guy Béjoint, après s’être accompli dans son métier de professeur d’anglais, s’est décidé la retraite venue à prendre son temps pour explorer sa passion depuis toujours pour le dessin et la peinture. Pour structurer son travail jusque-là autodidacte, il a alors suivi des cours pendant deux ans.
Ses créations sont surprenantes. La technique est particulièrement originale. Du papier-nappe est peint puis froissé, déchiré et assemblé avec d’autres morceaux. La réalisation finale, apposée sur un support de bois plane, ressemble à une sorte de mosaïque.
Les thèmes représentés sont variés : la faune, la flore, la spiritualité comme le chamanisme par exemple…
Le point de départ d’un tableau pour Guy Béjoint est toujours une image, une photographie mais elle est revisitée, remaniée et rehaussée de gouache aux couleurs vives.
Définir l’univers pictural de Parsi est un exercice délicat. Ce Sanclaudien s’amuse en effet à mélanger les techniques, les genres et les styles. La peinture figurative côtoie l’abstraction et taquine la photographie retravaillée par ordinateur.
Les couleurs se mêlent et les influences s’emmêlent (ou s’en mêlent) pour créer un univers singulier, riche et étonnant. Chez Parsi, alias Daniel Léger, la curiosité et l’envie de repousser les limites dominent.
L’œil et le geste sont vifs, avisés et cela se ressent nettement lorsque l’on contemple les œuvres de Parsi. Le seul mot d’ordre ? Vous laisser surprendre par ce foisonnement éclectique et coloré.
En 2009, l’association Les Pattofils nous avait fait découvrir le patchwork. Cet art textile avait étonné par sa modernité, ses couleurs et sa technicité. Aujourd’hui, les adhérentes de cette association locale reviennent avec leurs créations récentes. Les thèmes développés sont tantôt abstraits tantôt classiques, traditionnels et plus figuratifs. Chacune exprime sa sensibilité et sa dextérité en déclinant des scènes aux assemblages toujours différents.
Scrap-quilt, round robin, log cabin : venez vous familiariser avec ce vocabulaire si particulier tout en déambulant dans les espaces voûtés du Caveau des artistes. Pour vous accompagner dans cet apprentissage, les représentantes de l’association assureront une permanence chaque jeudi après-midi. Pour ceux qui ne pourront venir directement à leur rencontre, elles auront préparé des textes informatifs retraçant l’histoire et les techniques de cet art textile dont vous constaterez l’universalité en découvrant la salle spécialement dédiée au bogolan, patch utilisant des techniques de teintures maliennes.
Bon voyage et bonne découverte à tous !
Derrière les pseudonymes MElofeE et DOER’2 se cachent une sœur et un frère, Barbara Gambey et Thomas Lançon. Chacun d’entre eux invente son propre univers. Pour Melofee, c’est un monde plutôt enfantin, gai, naïf et coloré tandis que pour DOER’2 les travaux sont de plus grand format et oscillent entre peinture et graf. Thomas est d’ailleurs le concepteur et le réalisateur de la fresque de la place Lamartine à Saint-Claude (juin 2009). Il s’agit ici de leur première «vraie exposition seuls» comme ils se plaisent à le dire hormis, pour Melofee, sa participation depuis quelques années à l’exposition annuelle de l’association des Arts plastiques du Haut-Jura.
L’exposition restera en place au mois de décembre pour permettre aux plus petits de venir pendant les vacances. L’exposition sera évolutive puisque, au fil des semaines, les deux artistes amèneront de nouvelles créations tandis que d’autres disparaitront alors n’hésitez pas à revenir plusieurs fois.
Entre Rémi Chevassus et la photographie, l’histoire remonte à l’adolescence. Il découvre en effet cet art alors qu’il est lycéen à Saint-Claude. Cette passion ne le quittera plus mais il lui faudra attendre la retraite pour pouvoir s’y consacrer pleinement.
Le « déclic » intervient alors qu’il bricole un appareil photo numérique pour tenter de le réparer. Il se décide alors à l’utiliser et l’aventure commence… Depuis cet instant, le haut-jurassien ne s’arrête plus ! Il se promène en quête de l’image insolite : fantaisie de la nature ou du moment, paysages jurassiens toujours changeants…
Petite originalité : Rémi Chevassus encadre lui-même la plupart de ses clichés en confectionnant des cadres à partir de bois de récupération.
Rémi Chevassus a déjà exposé à Septmoncel, aux Moussières ainsi que sur divers marchés artisanaux (Mijoux, Moirans-en-Montagne, Saint-Claude).
L’année 2011-2012 sera ponctuée par quelques expositions à plusieurs mains. Ce sera le cas dès cette exposition de rentrée qui nous verra recevoir deux artistes féminines : Martine Dotto et Liudmila Colon.
Liudmila Colon est originaire de Biélorussie où elle a suivi de solides études à l’Ecole des Beaux Arts de Gomel, deuxième ville du pays. Installée à Morez depuis quelques années, Liudmila Colon donne des cours de dessin à différentes associations telles l’Atelier de Bienne et les Arts plastiques du Haut-Jura. Son univers coloré est tantôt figuratif tantôt plus féérique et « surnaturel » mais toujours empreint de douceur, de poésie et de la légèreté propre à l’aquarelle.
Martine Dotto présentera quant à elle un travail mêlant peinture et écriture. Ici il s’agit d’un travail pictural abstrait tout en énergie, couleurs vives et matières faisant référence à des émotions fortes comme l’évoquent les titres choisis : « Tourbillon », « Goût de vivre », « Rage contenue »...
Toutes deux ont déjà exposé à Saint-Claude notamment dans le cadre des expositions estivales de l’association des Arts plastiques du Haut-Jura.
Deux approches, deux techniques, deux personnalités qu’il vous est proposé de découvrir.
Deux personnes, deux techniques, deux univers différent. Le premier sculpte des blocs de béton cellulaire, matériau particulier habituellement utilisé dans le bâtiment composé de matières premières naturelles : l’eau, le sable, le ciment, la poudre d’aluminium. Si cette matière arbore un aspect massif, elle est en fait très légère et surtout très friable. Le second crée des illustrations à partir lui aussi d’un média original : son smart phone. En maniant au doigt ou au stylet l’application dessin de son téléphone, Cédric Philippe parvient à créer des illustrations graphiques inattendues, d’une finesse extrême. Cette exposition à quatre mains est donc une sorte d’écho entre deux générations et deux techniques. En tous les cas, il s’agit d’une exposition originale suscitant la curiosité !
Pour célébrer le printemps, le Service culturel municipal reçoit une artiste passionnée par la nature, Corinne Bourru. Son travail se veut proposer à chaque visiteur un voyage à travers le monde végétal : ses légendes, ses symboliques.
Corinne Bourru fabrique en effet elle-même sa pâte à papier. Ensuite, elle ramasse des végétaux (on pourrait même dire récolte), les rince, les décortique, les fais cuire, voire même les décolore comme pour s’approprier ces fragments de nature et pouvoir mieux s’en inspirer. A partir de tous ces éléments, l’artiste crée des assemblages mêlant différentes textures (papier, textile…) : patchworks, attrapes-rêves, tableaux végétaux dans lesquels sensations et émotions priment. C’est donc un univers étonnant et original qu’il vous est possible. Laissez vos sens s’éveiller avec cette parenthèse bucolique…
Le travail pictural de Michel Defontaine est singulier. Il est composé d’incrustations de matériaux divers (comme le plâtre, le tissu), de griffures et autres effets de matière, de couleurs et de techniques variées.
Cette exposition qui inaugure l’année 2011 est un appel au voyage, à la découverte. Michel Defontaine aime par-dessus tout le mélange, les contrastes. Pour lui, l’émotion est essentielle et guide sa création.
La passion de la peinture ne l’a jamais quitté depuis l’enfance et les cours suivis aux Beaux Arts de Valenciennes mais il aura du attendre l’heure de la retraite en 1998 pour pouvoir s’y adonner pleinement.
Michel Defontaine a déjà exposé en Polynésie, Guyane, aux Antilles mais également en France à La Rochelle, Avignon, Paris…et aujourd’hui à Saint-Claude.
Après avoir exposé à Bourg-en-Bresse, Gex ou encore Lons-le-Saunier, Noël Petitjean présente ses créations pour la première fois à Saint-Claude. Ses techniques sont multiples (peinture, plume, crayon…), ses thèmes d’inspiration également. Crayonnés de sculptures antiques, peintures de paysages du Jura ou d’univers plus proches de la science-fiction, dessins humoristiques, copies de peintures composent l’univers éclectique de Noël Petitjean. Certains d’entre vous avaient d’ailleurs peut-être aperçu quelques-uns de ses tableaux dans les vitrines sanclaudiennes il y a quelques mois…
David Mayet est désormais bien connu des sanclaudiens puisqu’il expose ses créations depuis presque dix ans, c’est d’ailleurs sa quatrième exposition au Caveau des artistes (2002, 2004 et 2007).
Autodidacte, David Mayet a su inventer un style personnel, unique : la peinture sur plumes. Cela lui vaut de recevoir des commandes de tous horizons.
Cet art original nécessite patience, dextérité, précision et connaissance assez fine de la faune. En effet, David Mayet peint le monde animal qu’il soit plus proche de nous tels que les chouettes, loups, ou plus exotique tels que les lions, zèbres et autres éléphants.
Cette peinture miniature fascine non seulement par sa technique mais aussi par sa richesse de détails. Une exposition à regarder de près !
Christophe Signori revient au Caveau des artistes, cinq ans après son dernier passage dans ce lieu.
Bien que l’exposition soit essentiellement composée de paysages du Jura qu’il affectionne tant, les couleurs des régions méditerranéennes ont enrichi la palette du peintre.
D’autres salles accueilleront également des peintures à l’huile aux thèmes bien différents : fantastique, natures mortes…
J.J. Pelaudeix a ouvert son atelier à St-Lothain Jura) après avoir suivi les cours des Beaux-arts de la ville de Lyon où son parcours professionnel l'avait conduit.D'abord inspiré par des représentations figuratives (le plus souvent des paysages du Jura) il s'oriente ensuite vers l'abstraction puis vers des expressions contemporaines, notamment à l'occasion d'études de modèles vivants. Différentes techniques sont alors explorées: acrylique, huiles, encres, pigments…ainsi que des recherches de matière, de collages.
Il entre dans une période où l'expression gestuelle, le mouvement, la spontanéité le conduisent vers davantage de liberté dans ses choix de thèmes où de techniques.
L’association Arts Plastiques du Haut-Jura a choisi, dans la continuité des Soufflaculs, le thème du cirque.Les déclinaisons circassiennes vont donc se retrouver dans les peintures, dessins, modelages et autres créations exposées au Caveau des artistes cet été.Vous pourrez également découvrir le fruit de leurs travaux durant la saison 2009-2010, chacun des membres de cette sympathique association amenant sa créativité personnelle.
Christian Mermet connaît bien Saint-Claude et le Caveau des artistes. Il est en effet originaire de la région et a déjà exposé en septembre 2003 et octobre 2006. Cet artiste autodidacte est en quête perpétuelle de pureté des lignes. Ses œuvres sont rondes, charnelles, sensuelles. Toutes ses sculptures portent d’ailleurs des noms évocateurs appelant à la rêverie : « Berceuse », « Sur le fil », « Baiser », « Les élégantes »...
A l’origine, Christian Mermet travaillait uniquement le bois (essences européennes et exotiques) mais depuis quelques années, le bronze est venu diversifier sa technique et compléter sa création. C’est en Amérique latine, où il vit pendant plus de vingt-cinq ans (Chili, Argentine, Uruguay), que Christian Mermet a appris connaître la sculpture, le bois, ses différentes essences en côtoyant les artistes locaux. En 2001, de retour en France, il s’est installé près de Belfort et a créé son atelier « L’art et l’outil ». Depuis, les créations du sculpteur s’exposent régulièrement et remportent de nombreuses récompenses : 1er Prix de sculpture de la Ville de Montbéliard, 1er Prix de sculpture du Centre européen de promotion Art et Lettres de Thionville et 2ème Prix de sculpture au Salon de printemps de Belfort en 2006
Diplômé de l’école des Beaux Arts de Chicago, George Monley arrive en France en 1990. Depuis, il a travaillé avec des artistes de la région pour faire connaitre l’art contemporain. Il a ainsi à son actif de nombreuses expositions notamment à Champagnole, Saint-Claude, Lons-le-Saunier (pour le Conseil général et la galerie du Bœuf sur le toit …). George Monley considère l’art comme un élément essentiel de son existence. Il vous propose donc de venir découvrir une exposition dite « in situ » totalement originale et pensée spécialement pour le Caveau des artistes. Univers éclectique, bigarré, pluridisciplinaire composé de moulages de carton ondulé trempé et d’éléments extraits de notre quotidien, cette exposition risque de vous surprendre. Laissez-vous envahir par le monde imaginaire de George Monley.
Image introuvableClaude Le Pennec n’est plus à présenter. Connu et reconnu pour ses talents de photographe animalier, il a su faire découvrir le Jura sous un autre profil, celui de l’environnement et de la nature. Aujourd’hui, Claude Le Pennec vous invite à un voyage essentiellement hors de notre département. Afrique, Ecosse, Corse ou Espagne sont les principales destinations de cette exposition. Alors suivez le guide au gré de ses promenades, de ses rencontres et de ses rêveries et laissez vous émerveiller…
L’exposition de ce début d’année 2010 est la première présentation au Caveau des artistes de l’association sanclaudienne "Palette et crayons".
Ses adhérents s’initient pas à pas aux divers techniques et supports picturaux. Vous pourrez essentiellement retrouver des croquis et des dessins utilisant pastel, peinture, crayon ou encre de Chine.
Si les gestes et les traits sont encore parfois hésitants, tous ont souhaité soumettre leurs créations à votre regard. Venez les encourager : que vos commentaires soient amicaux et leur donnent l’envie de continuer, de développer leur maîtrise graphique...
C’est une exposition originale et grand format que le Caveau des artistes accueille ce mois-ci. Si Philippe Château expose pour la première fois à Saint-Claude, vous vous apercevrez vite que l’artiste n’est pas un amateur, bien au contraire !
Diplômé des Beaux Arts de Dijon, il a longtemps utilisé sa créativité pour concevoir des décors de théâtre à Paris.
Revenu en 2003 dans le Jura natal (il est originaire de Dole), Philippe Château s’est installé avec son épouse à Blois-sur-Seille. Depuis, il s’est agencé un atelier et il peint. Il peint surtout des portraits de femme immenses, intenses, prenants.
Soyez curieux, venez découvrir le travail et le talent de cet artiste !
Qui ne connaît pas Jacky Grossiord à St-Claude ?
Membre actif et enthousiaste de l’association Arts plastiques du Haut-Jura, il a déjà exposé de nombreuses fois au Caveau des artistes (expositions individuelles et collectives).
Bien qu’il présente plusieurs créations chaque année lors de l’exposition estivale de l’association, sa dernière exposition personnelle sanclaudienne remonte à avril 2003.
Autodidacte, Jacky Grossiord se consacre depuis presque vingt ans à une seule technique : l’encaustique (mélange de cires chauffées et de pigments naturels).
Il nous propose de le retrouver au fil d’une exposition totalement renouvelée…
Après une première participation en 2006 aux Rencontres Internationales de l’Email de Morez, la Ville de Saint-Claude s’associe à nouveau à cette manifestation d’envergure en accueillant une artiste émailleuse nantaise.
Cette créatrice, primée de l’Atelier international d’émail de Kecskemêt (Hongrie), a une façon très singulière de travailler puisqu’elle s’appuie à la fois sur le graphisme et l’écriture.
Ses personnages, tableaux et autres objets sont généralement accompagnés d’un texte donnant ainsi une dimension unique à cet univers gai, coloré mêlant arts populaires et arts textiles.
Exposition en collaboration avec le GIRAEFE (Groupement International de Réflexion et d’Action pour l’Email et la Formation d’Emailleurs).
Comme chaque été, l’association Arts plastiques du Haut-Jura investit les murs et les vitrines du Caveau des artistes. Cette année encore, les sympathiques membres de cette association sanclaudienne ont travaillé durant plusieurs mois à partir d’un thème commun : Victor Hugo.
Ils vous proposent également de déambuler au fil des salles voûtées du Caveau des artistes à travers leurs dernières réalisations.
Alors que vous ont-ils réservé ? Peinture, sculpture, modelage, dessin ?
A vous de découvrir le foisonnement de leurs créations et la diversité des supports utilisés…
Jacques Royal vous invite à découvrir la Louisiane, cette contrée américaine dans laquelle il réside, son histoire, ses paysages, son atmosphère au fil de clichés photographiques, croquis de plantations et récits explicatifs.
Nicole Liget, quant à elle, nous ramènera en France, dans le Jura grâce à des aquarelles. Les techniques et les thèmes de Nicole Liget ont évolué vers quelque chose de végétal, plus moderne et plus coloré.
En ce mois de mai propice à la flânerie et à la curiosité, c’est Cécile Combaut, une jeune artiste originaire de Morteau, qui est accueillie au Caveau des artistes. Après l’obtention du baccalauréat option « Arts plastiques », Cécile Combaut a suivi les enseignements du lycée du bois de Moirans-en-Montagne puis de la prestigieuse école Saint-Luc de Tournai (en Belgique) pour parachever sa formation en ébénisterie et sculpture sur bois.
Aujourd’hui, elle s’exerce à différents supports, matériaux et techniques : peinture, modelage, sculpture sur bois. Cécile Combaut aime la diversité, la couleur : on la retrouve d’ailleurs dans tous ses tableaux. Rouge, vert, bleu, jaune, orange s’accordent et s’harmonisent dans des créations tantôt abstraites tantôt plus figuratives.
Originaire de Dijon, Sylvain Girardeau est sanclaudien d’adoption depuis les années 1990. Infographiste et illustrateur, il a réalisé l’affiche de l’année 2008 pour l’exposition pipes et diamants. Autodidacte, ses influences proviennent essentiellement de la bande dessinée tant sur le plan du traitement pictural que de l’humour. La peinture, quant à elle, est une activité plus récente pour Sylvain Girardeau. Les formats qu’il utilise sont divers tout comme ses thèmes : paysages, natures mortes d’inspiration plus classique ou scènes sous le sceau de l’illustration et de l’ironie tels « Adam et Eve » ou « Roméo ». C’est donc dans un univers hétéroclite fait de dessins crayonnés et de peintures que Sylvain vous invite au Caveau des artistes. Diversité et éclectisme sont les mots d’ordre pour cette exposition !
Titiana Lacroix est une artiste que les sanclaudiens connaissent bien. Après l’obtention du 1er Prix de la Ville de St-Claude, il y a environ quinze ans, l’artiste s’était faire rare, très rare. Mais depuis quelque temps, la peinture a repris le dessus… Les peintures de Titiana Lacroix sont toujours aussi soignées, minutieuses. Ses couleurs de prédilection sont le blanc, le beige et leurs dérivés. Elle explore même un nouveau support : la toile de jute pour prolonger sa palette de couleurs si subtiles. Retrouvez ses créations au Caveau des artistes du 6 décembre 2008 au 2 janvier 2009…
Après cinq ans, Isabelle Bachetti revient au Caveau des artistes. Cette artiste, originaire de Pontarlier, a déjà exposé à St-Claude en 2002 et 2003. Sa peinture, plus en matière, a évolué. Elle a pourtant su garder son côté « naïf » tout en développant et diversifiant sa technique : peinture au pinceau, au couteau, peinture-gel, peinture lisse,… Ses thèmes d’inspiration sont toujours aussi variés (Isabelle Bachetti ne souhaite pas s’enfermer dans un genre bien défini) mais tournés surtout vers les fleurs et les souvenirs d’enfance teintés de féérie et de couleurs multiples.
Sylvain Arbez est passionné par l’art et le dessin depuis son plus jeune âge. Il explore différents thèmes et diverses techniques picturales : peinture à l’huile, aquarelle, dessin au crayon, peinture acrylique, sculpture et plus récemment le landart.
oeuvres de Fred Mazuir.
La carrière de Fred Mazuir et son existence personnelle sont hachées d'orages, de crises et de ruptures, et marquées autant par l'incompréhension que par des aventures esthétiques partagées, sous le signe de la précarité et dans un constant voisinage avec la mort.
Depuis son enfance il dessine en autodidacte.
Graphiste professionnel, René Genty pratique la peinture de loisir. En 1988 il découvre le peintre Georges Laporte. Impressionné par son travail sur la matière et ses lumières particulières, il restera sous son influence jusqu’en 2000. Toujours fidèle à la peinture l’huile dont il apprécie la souplesse et la sensualité, René Genty découvre l’acrylique et les techniques mixtes. Il introduit dans sa peinture des personnages, et diversifie les thèmes. Depuis 2004, il a entamé une autre réflexion sur la manière d’aborder les thèmes (composition, matière….) Cette exposition est le reflet de ce parcours.
Cet artiste suisse crée un nouveau langage dans un monde contemporain saturé d’informations et d’images. Ce mode d’expression très personnel utilise les formes, les couleurs, la toile, le papier ou encore les matières synthétiques au travers d’œuvres peintes ou sculptées.
Les bois, bronzes et moulages en plâtre de Christian Mermet reflètent bien la créativité de cet artiste natif de Saint-Claude tant par la pluralité des thèmes abordés que par la diversité des techniques utilisées.
C´est avec grand plaisir que les sanclaudiens pourront admirer ses paysages essentiellement jurassiens. Ses représentations sont toujours aussi fines, minutieuses empreintes de mystère et de nostalgie.
à la fois peintre et illustratrice, son univers artistique est essentiellement centré sur les animaux et elle mêle judicieusement et harmonieusement couleurs et humour. Elle a travaillé pour la Bibliothèque municipale de Lyon, diverses compagnies théâtrales et les galeries Caré d´artistes.
Le calme et la paix des paysages sont des caractères importants de cette exposition.
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