Exposition "Daphnis et Chloé ou les Amoureux" par Pierre Bichet (1922-2008), célèbre peintre pontissalien, qui s'est intéressé à l'histoire des amoureux Daphnis et Chloé au début de sa carrière, alors qu'il vit encore à Paris, dans les années 1948-1950. Pour se présenter aux concours artistiques, il se plonge dans la peinture d'histoire et figure le couple des jeunes amants dans un paysage bucolique, elle nue, lui à ses côtés. La scène est fidèle au roman de Longus, auteur grec du IIe ou IIIe siècle après J.-C., qui relate l'éveil à l'amour et au désir de deux jeunes bergers. Leur sentiment est contrarié par de multiples péripéties dont ils finissent par triompher, avant de se marier.
Suite au concours photo 2015 organisé par la Ville de Pontarlier sur le thème "Pontarlier, ville de fête et d'animations", le Musée de Pontarlier expose les photographies sélectionnées.
Entrée libre et gratuite.
Une quarantaine de tenues féminines, prêtées par le Musée Départemental Albert et Félicie Demard d'Arts et Traditions Populaires (Champlitte, Haute-Saône), datant de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle. Récemment restaurées, ces tenues diverses évoquent l'élégance des femmes en Franche-Comté pendant la Belle Epoque. L'exposition est complétée par un ensemble d'affiches publicitaires sur l'absinthe.
Pendant une dizaine d’années, Claudet réalisa une oeuvre céramique remarquable et unique par sa diversité technique et iconographique.
La faïence est mise à l'honneur au musée de Pontarlier, avec la présentation des dernières acquisitions du musée et des Amis du musée.
Organisée par l'association "Les Amis du Musée de Pontarlier". Pour cette 5ème exposition, l'ensemble des oeuvres acquises depuis la création des concepts d'exposition "Itinérances" et "Hivernales" seront montrées au public. Ainsi pendant ces huit années, que de voyages artistiques et de parcours picturaux, naviguant entre la figuration et l'abstraction, ont été effectués grâce à tous ces peintres et ces sculpteurs à travers le prisme de leurs techniques propres. C'est donc un coup d'oeil dans le rétroviseur de l'art contemporain que vous proposent les Amis du Musée avec cette exposition.
Après des études d’ingénieur, Bernard Moglia entre à l’école des Beaux-Arts de Besançon où ses rencontres avec Charlotte Perriand et Jean Ricardon seront décisives pour son chemin pictural. Sa peinture, élaborée à partir du schéma humain, se résume alors à un jeu de tracés de couleurs pures développées autour d’un axe. Puis sa rencontre avec Michel Seuphor l’imprègne fortement, sa peinture prenant l’aspect de constructions colorées et translucides. Comme le titre de l’exposition l’indique, c’est un chemin que nous propose Bernard Moglia. Mais quel chemin ? Le sien peut-être ? Ou, des chemins pour chaque regard ? Des chemins personnels, différents, opposés peut-être, secrets sans doute, cachés, à découvrir, à parcourir, des chemins qui s’ouvrent, se découvrent, qui sonnent et résonnent parce que cette peinture est musicale, des chemins d’adhésion timide ou enthousiaste, ou de refus têtu et obstiné, des chemins d’émotions joyeuses, sombres, pacifiées ou violentes, des chemins d’art.
“Depuis plus de 50 ans, Jean-Claude Bourgeois peint sa région, la Franche-Comté, le Haut-Doubs, ses hivers habillés de neige, ses paysages silencieux, ses gens, laborieux et discrets... Il y a chez lui cette sensibilité à la terre, au terroir, héritée des Brueghel et des Le Nain. J.C.Bourgeois peint un monde où le quotidien s’égrène au rythme de la nature et des saisons, un monde où le temps n’existe pas vraiment, un monde dépouillé où les personnages semblent ne s’interroger que sur l’essentiel”.
Yoki de Fribourg, expose pour la première fois au Musée de Pontarlier des vitraux, des tableaux, des aquarelles mais aussi des tapisseries, au Musée et à la chapelle des Annonciades.
“C’est avec un portrait qu’est né le Musée de Pontarlier, il y a un peu plus de 170 ans : en recevant très officiellement le portrait du roi, le maire de l’époque lançait un appel auprès de ces concitoyens pour qu’ils donnent à la Ville de Pontarlier les portraits de leurs ancêtres pour constituer une galerie des personnalités célèbres du Haut-Doubs. La plupart a regagné le Musée, dans les salles permanentes ou les réserves...”
Marius-Paul Laithier, né dans le Haut-Doubs, entre en 1912 à l´Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. La première guerre mondiale vient interrompre une carrière que ses professeurs et ses pairs annonçaient prometteuse. Mobilisé en 1914 il participe aux combats d´Alsace en 1915, de Verdun en 1916 avant d´être tué à Bouchavesnes le 20 septembre 1916 lors de l´offensive de la Somme. Il a laissé des paysages, des portraits, des natures mortes ainsi qu´un nombre assez important de croquis pris sur le vif pendant ses deux années de présence sur le front.
Trois peintres, trois artistes. Fernier et Bichet en France, Lermite en Suisse, baignés par leurs origines, la culture de leur pays ont peint leur Jura, leur pays, les hommes, les paysages, les saisons.
Les regards imagés de ces trois peintres se croisent. Regards croisés pour une seule entité géographique que ne peut modifier une frontière.
Le musée sort de ses réserves des tableaux sur cette saison souvent privilégiée des peintres comtois : l´hiver. Champs et chemins écrasés de silence, maisons frileusement blotties les unes contre les autres, plein hiver éclatant de blancheur ou hiver finissant dans des dégels boueux.
A l'occasion des 5èmes Absinthiades, le Musée de Pontarlier présente une exposition d'oeuvres contemporaines appartenant à un collectionneur particulier suisse spécialiste passionné de l'histoire de l'absinthe.
Le toujours souriant André Charigny est parti le dernier, au début de l'année, mais il nous a laissé ses oeuvres qui sont autant de souriants regards sur notre région, une région qu'il avait adoptée, bien loin des modes de son Paris natal.
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