Né à Paris en 1932, le peintre Jean-Claude Bourgeois vit en Franche-Comté au Pays de Gustave Courbet. Il suit l’école des Beaux-Arts de Besançon. Dès 1957, il est remarqué par les critiques d’art Georges Besson, Raymond Cogniat, Guy Dornand, et encouragé par Marcel Aymé. Il s’impose avec une facture très personnelle. Jean-Claude Bourgeois fait partie du Mouvement de la Jeune Peinture (1949-1961). Il est sociétaire des principaux Salons parisiens.
Il expose régulièrement à Paris depuis 1957, à Besançon depuis 1960 et se manifeste également en province et à l’étranger. Le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris et de nombreux musées de province et étrangers ont acheté plusieurs de ses oeuvres.
Depuis toujours proche par l’esprit du monde rural de Jean Giono, Jean-Claude Bourgeois prolonge, par ses racines comtoises, cette poésie pastorale, aidé par ses grands maîtres admirés tels que Corot, Gromaire et le flamand Permeke. Une fois de plus après Gustave Courbet, la terre franc-comtoise l’inspire en des œuvres majeures révélant une vigueur savante, une sensibilité virile et le souffle poétique d’un vrai tempérament. (GD).
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